Risk and protective factors of precarious housing among Aboriginal people living in urban centres in Alberta, Canada

Auteurs-es

  • Micheal L. Shier University of Toronto
  • John R. Graham Florida Atlantic University
  • Eriko Fukuda University of Kansas
  • Alina Turner University of Calgary

Mots-clés :

Aboriginal, precarious housing, addictions, homeless, policy

Résumé

In Canada, Aboriginal people are over-represented among people experiencing homelessness and other forms of precarious housing. In an effort to better understand the varied factors that might contribute to this situation, administrative data collected about individuals utilizing housing support services in seven Alberta, Canada cities were analyzed. Logistic regression was used to analyze the relationship between a categorical dependent variable measuring two housing situations (permanent/stable housing and precarious housing) and demographic, socio-economic, and personal health problem predictor variables for Aboriginal people within the study sample (n=1106). The analysis found that living in a larger city, having more income and education, and being married were all protective factors from being precariously housed. Having an addiction was found to be a risk factor for precarious housing. The findings suggest the need for more detailed investigation of the impact of addictions on housing for Aboriginal people along with an assessment of the types of housing resources available for Aboriginal people in smaller urban communities.


Résumé

Les Autochtones sont surreprésentés parmi les personnes sans domicile et en situation de logement précaire au Canada. Afin de mieux comprendre les divers facteurs qui peuvent contribuer à cette situation, les données administratives individuelles des personnes utilisant les services de soutien au logement dans sept villes d’Alberta, ont été analysés. Des modèles de régression logistique ont étés utilisés pour analyser la relation entre une variable qualitative dépendante mesurant deux situations de logement (logement permanent/stable et logement précaire), et des variables de prédiction dans l’échantillon (n=1106), tels les données démographiques et socio-économiques, et les problèmes de santé individuels. L’analyse démontre que vivre dans un centre urbain plus grand, avoir un revenu et un niveau d’éducation plus élevé, et être marié, sont tous des facteurs de protection contre le logement précaire. Un facteur de risque pour le logement précaire est d’avoir une toxicomanie. Les résultats de l’analyse suggèrent qu’une investigation plus approfondie des impacts de la toxicomanie sur la précarité au logement des Autochtones, une investigation des types de ressources en logement disponibles dans les communautés urbaines plus petites pour les Autochtones semble nécessaire.

Mots-clés: Autochtones; logement précaire; toxicomanie; itinérance; politique  

Publié-e

2015-12-30

Comment citer

Shier, M. L., Graham, J. R., Fukuda, E., & Turner, A. (2015). Risk and protective factors of precarious housing among Aboriginal people living in urban centres in Alberta, Canada. Canadian Review of Social Policy Revue Canadienne De Politique Sociale, (72/73). Consulté à l’adresse https://crsp.journals.yorku.ca/index.php/crsp/article/view/36925

Numéro

Rubrique

Articles